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lapin · Administrateur

17-04-13 18:13:53

11-07-11 · 13 872

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Rave Party à Saint-Victor : "On essaie d'emmerder personne"


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Qui a dit que les nuits étaient calmes dans la garrigue bordant la D101, qui relie Saint-Victor-la-Coste à Pouzilhac ? Dans la nuit de samedi 13 à dimanche 14 avril, vers 3 h du matin, les gendarmes de la compagnie de Bagnols-sur-Cèze ont été alertés par des riverains : une rave party sauvage se déroulait dans le bois de Saint-Victor, près du lieu-dit des Pylônes, au niveau du chemin forestier DLCI Y12.

Entre 500 et 800 véhicules




 
La zone, assez reculée, est néanmoins parsemée de mas et d’exploitations agricoles, dont les propriétaires n’ont pas apprécié l’explosion de décibels liée au rassemblement. Et pour cause : la fête était importante, puisqu’entre 500 et 800 véhicules immatriculés un peu partout en France avaient envahi les lieux. Rapidement arrivés sur place, les gendarmes, sous l’autorité du commandant Dryger, ont bouclé les deux accès au plateau sur lequel se sont rassemblés les fêtards, avant de se rendre sur les lieux pour entamer la discussion avec les organisateurs et voir si la sécurité des participants était assurée.

Médecins du monde déjà sur place, pour traiter de la bobologie



Sur ce dernier point, ils ont été rassurés par des membres de l’ONG Médecins du monde qui, prévenues à l’avance, étaient déjà sur les lieux pour y tenir un dispensaire, dans lequel ils ont principalement traité des cas de “bobologie”. Les gendarmes se sont ensuite entretenus avec les organisateurs, histoire de leur faire comprendre que la fête allait devoir toucher à sa fin assez rapidement. Et que tout ce beau monde devrait évacuer les lieux au cours de la journée de dimanche. Un message pris avec philosophie par les participants de la rave party (lire ci-dessous).

Faire en sorte que les ravers soient en état de conduire



Une bonne partie de la journée d’hier, la compagnie de gendarmes de Bagnols-sur-Cèze a donc continué à chaperonner les “ravers”, redescendus du plateau, et à filtrer les entrées et les sorties de véhicules. Afin d’empêcher d’une part que de nouveaux arrivants se joignent à la masse de ceux déjà présents, et d’autre part, de s’assurer que les fêtards sur le départ soient bel et bien en état de conduire. "Ils ne sont pas bêtes : ils restent en haut le temps de décuver, puis, lorsqu’ils pensent pouvoir sortir, ils viennent nous voir", expliquait un gendarme, hier, en fin de matinée, alors qu’une file de voitures attendait d’être contrôlée. "Certains ont appris que nous étions là alors qu’ils se préparaient à partir et ont fait demi-tour en douce", s’est même amusé un autre képi.
Pas sûr cependant que tous les militaires présents aient été enthousiasmés par cette fureur du samedi soir.



Drôles de rencontres sur les routes du Gard rhodanien




Assister à la dispersion d’une rave party, c’est l’occasion assurée de faire de drôles de rencontres, au détour d’une route départementale serpentant entre des vignes.

Dimanche matin par exemple, alors que les fêtards disposant d’une voiture se pliaient au contrôle des forces de l’ordre, des dizaines d’auto-stoppeurs se déversaient sur les routes des alentours. Sans toujours savoir où ils vont : "Avignon, c’est dans l’autre sens", a ainsi dû expliquer un gendarme à un couple de jeunes, pas complètement remis de leurs agapes sonores nocturnes.

Un peu plus au sud, sur la D4 en direction de Tavel, c’est Marc qui attend une voiture. Avec ses tongues et son collier aux couleurs de la Jamaïque, il cherche à se rendre à Arles. Visiblement pas très frais, le baroudeur a apprécié la soirée : "C’était cool, et il y avait du bon son, on a bien plané". Sur la même route, à la sortie de Tavel, ce sont "Maël et Ben" qui espèrent qu’une bonne âme les déposera plus près d’Avignon pour qu’ils y prennent le TER vers Montpellier.

Eux aussi ont passé une bonne soirée. Que pensent-ils de l’arrivée des gendarmes ? "Ils ont un peu cassé l’ambiance, mais ils font leur boulot", explique, compréhensif, l’un des deux compères. "Généralement, les organisateurs essaient de trouver des coins tranquilles, loin des habitations, pour qu’on n’emmerde personne. Mais des fois, ça ne suffit pas et des gens se plaignent", assure son camarade. Avant de conclure, "ça craint, mais bon, c’est le jeu".


Source : Midi Libre



Saint-Victor-la Coste : des barrières contre les rave parties ?



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Une nouvelle rave party s'est tenue ce week-end dans un bois de Saint-Victor la Coste, rassemblant entre 500 et 800 véhicules. Des riverains dérangés par le bruit ont appelés les gendarmes.




Pour contenir le phénomène des fêtes sauvages, en expansion dans certains secteurs du canton de Laudun, la commune de Saint-Victor-la-Coste devrait mettre en place un système de barrières pour empêcher toute utilisation intempestive des chemins DFCI (utilisés par les secours en cas de feux de forêts). Un projet en partenariat avec les gendarmes, les secours mais aussi tous les usagers qui eux, pourraient disposer d’une autorisation et donc d’une clé.



Source : Midi Libre

lapin · Administrateur

21-04-13 20:35:16

11-07-11 · 13 872

  81 

3 000 fêtards dans une rave party à St-Victor-la-Coste : il va falloir passer à la caisse  ...


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Certains des participants de la rave party qui s'est tenue à Saint-Victor dans la nuit de samedi 13 à dimanche 14 avril l'ont expliqué ici même : ils aimeraient bien qu'on les laisse tranquilles. "On bosse, on est vos électriciens, plombiers (...) on éduque vos gosses dans des écoles", expliquait ainsi un des organisateurs. Qui affirmait être retourné sur place pour nettoyer la zone.


Sauf que voilà, la gendarmerie ne l'entend pas de cette oreille. Elle a décidé de mettre le hola à ces manifestations, qui se déroulent de plus en plus régulièrement dans le coin. Comment ? En s'en prenant au porte-monnaie des adeptes de la free party.

Dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril, toutes les unités de gendarmerie de la compagnie de Bagnols-sur-Cèze ont été appelées en intervention dans un bois planté à Saint-Victor-la-Coste, au lieu-dit le Pylône, le long de la RD 101. Là, sur les coups de 3 heures du matin, une fois le mur de son installé, près de 3 000 personnes ont ouvert les festivités d’une rave party qui s’est poursuivie jusqu’à 19 heures, dimanche.

Problème, la “petite” fête avait été organisée en toute illégalité. Lors des préparatifs, le président de l’association, un technicien d’exploitation âgé de 37 ans domicilié à Gignac-la-Nerthe (Bouches-du-Rhône) et sa compagne, une enseignante, n’avaient fait aucune déclaration auprès de la préfecture du Gard. Ce qui est obligatoire. D’autres faits ont été constatés par les gendarmes comme l’absence d’une billetterie conforme alors que la participation à la rave était payante et l’installation d’un débit de boisson sans autorisation, là encore obligatoire. De plus, toute la programmation musicale a été diffusée sans déclaration préalable auprès de la Sacem. S’ajoutent à ces infractions, 490 procédures effectuées à l’encontre des fêtards venus de toute la France qui avaient garé leur véhicule sur une piste DFCI, une voie de défense des forêts contre l’incendie qui doit être dégagée pour le passage des secours en cas d’intervention.

Sur demande du procureur de la République de Nîmes, tout le matériel des fêtards a été saisi ainsi que des produits alimentaires qui ont été placés sous scellés. Présentés hier devant le parquet, le couple devra s’acquitter d’une caution de 1 800€ et a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de gérer une association ainsi que de participer à une manifestation musicale.




Source : Midi libre & Objectif Guard

SLEDGE · Bass Green Card

21-04-13 20:56:48

08-05-12 · 2 188

Il commence bien ton article lapin : genre les forces de l'ordre sont de bonne humeur pour cette fois, du moins avec les participants... mais quand ils s'en prennent aux organisateurs : ça fait bobo ! sad.

Merci quand même. smile

The Bass Airline Cie...

Fuse · Bass skwatteur

23-04-13 17:40:13

26-01-13 · 284

  13 

encor un coup dur pour le monde de la free que faire ????

Notre culture comme on la connais est elle en périls????

Depuis Bouaffles on ne compte plus les saisis quel est l'avenir des sound system français je me le demande????

C'est toute une culture qui risque disparaire que faire renouer le contact avc l'états afin de renegocier la loi mariani et en élevés son seuil ou retourner dans l'ombre et se contenter de soirée a moins de 500personnes telle est la questions?????

lapin · Administrateur

23-04-13 20:11:12

11-07-11 · 13 872

  81 

Péril je pense pas, mais c'est vrais que sa ce durçit pas mal.

Il faut aussi remettre les choses dans leurs contexte, en quelques années (puisque tu parle de Bouafles) un immense réseau social (facebook pour pas le cité) a pas mal changé la donne, notamment niveau communication et interception de ces même communications. Il est donc logique que les actions policières soient plus nombreuses en quelques sortes et que le jeu soit devenue plus tendu vu que les précautions prises auparavant ne le sont plus prises ou sont moins facile à maîtrisés que jusqu'alors.

Là on parle d'une soirée à 3000 personnes apparemment, dur de ramener autant de monde pour certains sans un grand coup de comm (volontaire ou non ) et donc sans ameuter les bleue  ...

Bref beaucoup de questions mais c'était juste pour souligner que parfois certains ne s'aident pas vraiment non plus mais bon c'est le jeux  ...

Fuse · Bass skwatteur

23-04-13 21:22:03

26-01-13 · 284

  13 

le problemes sont les sanctions une saisis définitive pour les epsylonn otokotonne et la une interdiction de monter une association et de participer a toute manifestation musicale mais ou va t on???? La dureté des sanction augmente petit a petit

Dernière modification par Fuse (23-04-13 21:24:17)

tipierr · Ripeur / Uploadeur

24-04-13 09:24:16

31-01-12 · 380

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C'est rare aussi qu'ils tapent autant sur les participants: 490 procédures pour stationnement illégale ?!!
"interdiction de participer à une manifestation musicale"... Sympa comme sanction: reste chez toi et regarde la tv.

Oeuf · Bass Explorer

14-05-13 13:53:32

13-05-13 · 39

  


Présentés hier devant le parquet, le couple devra s’acquitter d’une caution de 1 800€ et a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de gérer une association ainsi que de participer à une manifestation musicale.



Tsss . . . . intollérable . . .

Akki · Bass Jedi

14-05-13 19:14:25

14-05-13 · 418

  

Comme dit Sledge l'article commence bien, on se dit "oui bah c'est le jeu, ça arrive..." et au final on pense que ça se fini sans trop de soucis, et on se rend vite compte que non en lisant la suite.
Saisi de matos c'est toujours aussi abusé, mais l'histoire de ne participer à aucune manifestation musicale, c'est juste totalement abruti comme peine.

Et ok avec ce que dit Lapin, c'est vrai qu'avec les réseaux sociaux et internet qui a prit une grosse place maintenant, c'est beaucoup plus compliqué de se faire discret.

lapin · Administrateur

14-05-13 20:44:22

11-07-11 · 13 872

  81 

Ou l'art de raconter des histoires pour les enfants au suspens insoutenable... smile

En tout cas pas de news de l'affaire ..

Oeuf · Bass Explorer

16-05-13 13:56:34

13-05-13 · 39

  

lapin
Ou l'art de raconter des histoires pour les enfants au suspens insoutenable... smile



je plussoie danse

samix · Je viens d'arriver, je paye ma tournée !!

19-05-13 00:39:40

26-02-13 · 11

  

Bonsoir,

C'était quel son au juste ? purée c'était à 20 min de chez moi ... bon en même temps ne sortant plus trop en soirée ...

Bon courage aux orgas wink

A.KÖR3 · Banni(e)

23-05-13 21:36:18

19-03-12 · 736

  10 

Dans la nuit de samedi 13 à dimanche 14 avril, une rave party sauvage réunissait entre 2 000 et 3 000 personnes, dans la garrigue, entre Saint-Victor-la-Coste et Pouzilhac. Intervention des forces de l'ordre, la gendarmerie de Bagnols a décidé de mettre le hola, en poursuivant au tribunal les organisateurs de l’événement.


Marie (*) a un travail, des enfants, une famille. Comme beaucoup d’autres gens, elle a une passion. Une passion difficile à vivre. À l’inverse de la philatélie ou du tuning, la sienne n’est pas bien vue par l’administration. Parce que Marie aime la musique électronique, les fêtes dans la garrigue, la sono et les décibels… Avec une soixantaine d’autres personnes, elle a participé à l’organisation de la fameuse fête sauvage de Saint-Victor-la-Coste. Une fête qui - selon elle - ne devait à l’origine que rassembler quelques centaines de personnes mais qui, magie des réseaux sociaux oblige, a attiré plusieurs milliers de participants, venus de toute la France.



Les raveurs pointés du doigt



Aujourd’hui, elle a du mal à comprendre l’acharnement des autorités contre les raveurs. Et pas seulement après la mobilisation des gendarmes à Saint-Victor. Elle dénonce un climat général, dans lequel elle et ses camarades sont régulièrement pointés du doigt, marginalisés. Une hypocrisie, à une époque où concerts de rap, de métal et de rock identitaire se multiplient, sans que personne ne trouve plus rien à y redire. La techno a, elle, toujours mauvaise presse. Et pourtant. "Combien de gosses se tuent à la sortie des boîtes ? Combien se droguent dans des bars de bonne réputation ? À Saint-Victor, il y avait 3 000 personnes, il n’y a pas eu un malaise, pas une bagarre."



L'Etat refuse le dialogue



Toujours d’après Marie, si les free party - non déclarées - existent encore, c’est parce que l’État français mets des bâtons dans les roues des raveurs. "Certains essaient de s’organiser, de faire ça dans un cadre légal. Mais à la moindre manifestation, il faut déposer un dossier en préfecture. Dossier qui sera la plupart du temps rejeté". Même dans des lieux privés, avec l’accord des propriétaires, les forces de l’ordre veillent, à la recherche de la moindre incartade. "Pourquoi nous refuse-t-on les débits de boisson, autorisés à chaque rassemblement de boulistes, à chaque feria ?", demande la raveuse. Du coup, après les rejets de dossiers, après les interventions de la police, les fans de techno font souvent le choix de l’illégalité, des fêtes “sauvages”, pas déclarées, et dont l’emplacement n’est révélé aux participants qu’au dernier moment.



Des raves écologiques



Mais, Marie nous l’assure, sauvage ne veut pas dire désorganisée : "On n’est pas des irresponsables dégueulasses." Il faut trouver un coin adéquat en fonction de critères stricts : facilité d’accès, absence de voisinage, espace dégagé… "Les organisateurs cherchent un endroit où on gêne le moins de gens possible, et capable d’absorber notre présence sans détérioration de l’environnement, sachant qu’on ramasse le moindre mégot avant notre départ." Pas toujours facile et, quand un emplacement idéal est trouvé, il arrive qu’il soit réutilisé régulièrement. "Quand ça arrive, je comprends que les riverains en aient marre", avoue la raveuse.



Une loi à plusieurs vitesses



Face à ce plaidoyer, certains répondront que la loi, c’est la loi (lire ci-dessous). Mais à l’heure actuelle, Marie et ses camarades - ils sont cuisiniers, avocats ou profs dans la vie de tous les jours - ont l’impression que la loi n’est pas la même pour tout le monde. "Nous, on aimerait juste pouvoir vivre notre passion tranquillement, comme n’importe quel autre amateur de musique."

(*) Prénom d'emprunt.
« Il faut faire un exemple », une riveraine excédée.

Des raves, ils en ont connu. Presque une par semaine, au plus fort de l’été, l’an dernier. Eux, ce ne sont pas des fêtards, mais des riverains. Enfin… Riverains, mais de plusieurs kilomètres. Ce qui ne suffit pas à les protéger de l’explosion de décibels qui résonne dans les bois de Saint-Victor.
Et, dans la nuit du 13 avril dernier, certains en ont eu marre. Comme K., qui a une résidence secondaire dans une bergerie proche du plateau où s’est déroulée la fête. En fin d’après-midi, le samedi, elle avait croisé une camionnette sur les lieux. Interrogés, ses occupants niaient organiser une rave. K. n’y a vu que du feu, et est rentrée chez elle. Avant de vite déchanter, lorsque la musique a mis fin au calme qui règne dans la garrigue environnante.
Ni une, ni deux, excédée par cette énième free party, la riveraine a décidé d’appeler les gendarmes de Bagnols, qui arrivent sur les lieux dans la nuit, et verrouillent les accès au plateau.
« Pendant des années, mairie et gendarmerie m’ont répété “On ne peut rien faire” », affirme la riveraine. Alors aujourd’hui, voir la justice s’emparer du dossier est pour elle un grand bol d’air. Parce que les raves estivales lui pourrissent la vie. « Il y a des règles pour tout le monde. S’il n’y a pas un exemple qui est fait, il va y avoir un souci un jour », précise-t-elle. Et d’ajouter que, au-delà du tapage nocturne, il y a d’autres risques : « Sans vouloir faire du racisme contre ces gens,il y en a certains que je n’aimerais pas croiser tard le soir. On ne se sent pas en sécurité quand ils sont là. » Sans parler des risques liés à des incendies…
Histoire d’en remettre une couche, elle a aussi écrit au député Patrice Prat et au préfet du Gard, pour que des barrières soient installées sur le chantier menant au plateau. On n’est jamais trop sûr…




La loi



La gendarmerie poursuit les organisateurs de cette rave pour : manifestation sans déclaration préalable auprès de la préfecture, entrée mais sans billetterie conforme, ouverture d’un débit de boissons sans déclaration et non déclaration des œuvres musicales diffusées auprès de la Sacem.

Akki · Bass Jedi

23-05-13 23:37:55

14-05-13 · 418

  

Je serai curieux de savoir ce que "K" aurait dit si ça avait été un festival ordinaire legal & co. Elle aurait sans doute fermé sa gueule et bougonné dans sa résidence secondaire.
Quant à ne pas vouloir faire de "racisme contre ces gens", c'est clairement du délit de sale gueule ce qu'elle dit.

Comme dit au début du témoignage, des drogues, des morts, des bagarres il y en a aussi en boite de nuit. Enfin les morts c'est surtout contre les arbres des alentours.
Perso je me sens moins en sécurité à 4h du mat' à la sortie d'une boite, qu'aux alentours d'une free.
« Il y a des règles pour tout le monde. S’il n’y a pas un exemple qui est fait, il va y avoir un souci un jour »
J'ai vu des mecs se la mettre comme des porcs et pas être bien dans des festivals qui suivaient les règles. Haha putain il me gave tellement le passage de miss K.

Sympa comme petit texte en tout cas.