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lapin · Administrateur

27-07-15 15:49:42

11-07-11 · 13 872

  81 

Saisie 1krevable Sound System en Bretagne.
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On apprend via Facebook que le Sound System 1krevable a été saisie ce week-end en Bretagne suite à une Free party bien mouvementée ayant eu lieux une semaine auparavant dans les cotes d’Armor en compagnie des Répercusound....
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A noté aussi que les dégradations ont également visées un mobile-home, des maisons et garages, en plus des éoliennes et qu'une moto a aussi été volée. Tout ceci a entrainer l'interpellation sur son lieux de travail d'un membre du Sound System qui comme l'indique le message Facebook a été placé en Garde à vue.
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Cette intervention à posteriori est donc en grande partie due aux mauvais comportements des fêtards, ce qui devrait calmé les organisateurs lors de leur prochaines soirées, qui seront certainement plus discrètes à l'avenir. En attendant nous leur souhaitons à tous beaucoup de courage en espérant que l'ensemble soit restitué sous peu.

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Source : 1Krevable Sound System

lapin · Administrateur

28-07-15 15:12:03

11-07-11 · 13 872

  81 

Côtes-d'Armor. Il organisait des rave-parties : son matériel saisi
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Les gendarmes constarmoricains espèrent avoir mis un coup d’arrêt à une série de rave-parties sauvages organisées dans les Côtes-d’Armor depuis plusieurs mois.




Samedi dernier, les enquêteurs de Jugon-les-Lacs ont interpellé un homme de 22 ans, habitant la commune de Corseul. Son mur de son et différents accessoires ont été saisis.

Il était sous surveillance depuis une free-party organisée à Plédéliac dans la nuit du 16 au 17 mai. Son collectif, « 1krevable », compte près de 3 500 « like » sur sa page Facebook. Chaque mois, le costarmoricain invitait les internautes à un rendez-vous. La fête de Plédéliac, non autorisée, avait rassemblé 450 personnes sur un terrain privé. Une autre rave a eu lieu à Sévignac du 27 au 28 juin.

Une éolienne dégradée


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Le 18 juillet, deux jours après une première condamnation à 500 € d’amende devant le délégué du procureur de Saint-Malo pour des rassemblements sauvages, il a réuni 400 personnes à Yvignac. Ce week-end-là, les gendarmes ont recueilli douze plaintes par les riverains pour des nuisances. Une éolienne a été dégradée.

Dans un message posté sur Facebook dimanche, l’homme déplore les incivilités lors de ses soirées :


Travail dissimulé ?



Le jeune homme est convoqué devant le tribunal correctionnel de Saint-Malo le 3 novembre. Une nouvelle enquête pour travail dissimulé vient par ailleurs de débuter. Les gendarmes ont en effet découvert que les participants à ces rave-parties sauvages devaient payer un droit d’entrée de 2 €.



Source : Ouest France et 1krevable

toxik kor manie · Bass Addict

28-07-15 21:43:23

10-05-12 · 308

  

on espere tous des sanctions exemplaires pour ce dangereux criminel récidiviste !
travail dissimulé..droit d'entrée a 2 euros..du lourd la..

on en arriverait presque a regretter l époque ou Sharko etait president tellement..je sais pas..
M'enfin ??

Acid Brainstorming · Bass Addict

28-07-15 22:25:07

25-09-13 · 348

  

C'est inadmissible! Tous ceux qui n'avaient pas 2€, ont surement été obligés de donner une Graffenwalder Strong à l'entrée. Les organisateurs auraient dû grillager tout le site, pour que personne ne resquille.

C'est malheureux pour le gars, mais ces torchons journalistiques faut les prendre en dérision.
Surtout qu'il y a pas que les free party qui génèrent des problèmes. Dans le passé il y a eu des événements bien plus abusés en marge de certains festivals rocks. Champ sur tarentaine et Saint-Amand Roche Savine, entre autre. A Saint-Amand si je me rappelle bien, en 1995 ou 96 des punks étaient rentrés dans la bibliothèque municipale et ils avaient chié, pissé, vomi dans les livres.:D  Les gars avaient peut-être pris les chansons des Ludwig au pied de la lettre.:/
20 ans plus tard tout le monde a oublié ce fait divers, d'ailleurs ça n'avait pas fait les choux gras de la presse.

Quand c'est trop bon, c'est pas bon.

lapin · Administrateur

29-07-15 22:29:05

11-07-11 · 13 872

  81 

@Brainstorming : marrant l’anecdote

A prendre avec des pincettes ^^

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Havohej · Sound System

30-07-15 08:02:05

30-07-15 · 105

  

Acid Brainstorming
C'est inadmissible! Tous ceux qui n'avaient pas 2€, ont surement été obligés de donner une Graffenwalder Strong à l'entrée. Les organisateurs auraient dû grillager tout le site, pour que personne ne resquille.

C'est malheureux pour le gars, mais ces torchons journalistiques faut les prendre en dérision.
Surtout qu'il y a pas que les free party qui génèrent des problèmes. Dans le passé il y a eu des événements bien plus abusés en marge de certains festivals rocks. Champ sur tarentaine et Saint-Amand Roche Savine, entre autre. A Saint-Amand si je me rappelle bien, en 1995 ou 96 des punks étaient rentrés dans la bibliothèque municipale et ils avaient chié, pissé, vomi dans les livres.:D  Les gars avaient peut-être pris les chansons des Ludwig au pied de la lettre.:/
20 ans plus tard tout le monde a oublié ce fait divers, d'ailleurs ça n'avait pas fait les choux gras de la presse.



Une petite pensée pour tout les plants de Muscadet qui se sont fait chier dessus (littéralement) au Hellfest (avant que ça ne change de site).

"Picture the scene...it’s bank holiday weekend, the weather has been beautiful, the night is warm, windows are open but you can’t sleep over the thudding bass from an illegal rave. "
Le Lapin Blanc

lapin · Administrateur

06-08-15 07:30:49

11-07-11 · 13 872

  81 

Article partager ici vu le lien developpé dans l'article avec cette histoire.


Rave-party. Le phénomène perdure

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Vingt-et-une rave-parties recensées depuis le début de l'année dans les Côtes-d'Armor : le phénomène techno et libertaire reste bien vivant... et pose toujours autant de problèmes aux riverains, et aux autorités. Un jeune organisateur de Corseul sera jugé en novembre pour nuisances sonores répétées et dégradations.


La dernière s'est tenue il y a 10 jours, dans une clairière de forêt domaniale, près de Loudéac, sans autorisation du propriétaire. Selon la gendarmerie, près de 600 teufeurs étaient réunis à l'appel d'un collectif du sud de la France - davantage, donc, que le seuil de 500, imposant une déclaration en préfecture. À chaque fois, pour la maréchaussée, c'est le même numéro : d'abord « submergée d'appels » nocturnes de riverains se plaignant des nuisances sonores, elle dépêche des militaires sur place. Non pas pour faire décamper tout le monde, mais pour identifier les organisateurs et contrôler l'alcool ou les stupéfiants au volant à la sortie. « Il y en a qu'on ne peut laisser partir comme ça sur les routes », explique le commandant du groupement de gendarmerie des Côtes-d'Armor.


« Un vrai phénomène »



Le colonel Leclercq dresse le bilan : 21 rave-parties sur le département depuis le début de l'année, « presque une par week-end » (29 en 2014, dont aucune n'avait fait l'objet d'une déclaration en préfecture). « C'est un vrai phénomène et une vraie préoccupation, car c'est fortement mobilisateur pour nos militaires. Ce n'est pas un procès fait à ce mouvement musical : on accompagne les fêtes déclarées de plus de 500 personnes. Ce fut le cas, à Trélivan, près de Dinan, il y a deux ans, avec près de 6.000 personnes, et cela s'était bien passé. Mais le mouvement technoïde s'inscrit dans un certain refus de la réglementation... La loi n'interdit pas les raves, mais il faut les déclarer », rappelle le militaire.

Un organisateur de 22 ans en garde à vue



Le 25 juillet, la gendarmerie est passée à l'action vis-à-vis d'un organisateur de ce genre de soirées : un homme de 22 ans, habitant Corseul, interpellé sur son lieu de travail et placé en garde à vue. Le jeune homme, avec son collectif « 1krevable », qui compte plus de 4.000 fans sur Facebook, était dans le collimateur depuis un moment. Dans la nuit du 16 au 17 mai, il organise une « teuf » qui rassemble environ 450 personnes à Plédéliac. À la suite de plaintes pour « agressions sonores », il est convoqué devant le délégué du procureur de Saint-Malo, le 16 juillet. Entre-temps, dans la nuit du 26 au 27 juin dernier, il remet ça au lieu-dit Rochereuil, à Sévignac, près de Broons, et les plaintes viennent s'ajouter à sa première convocation. Celle-ci arrive, il y reçoit une peine d'amende. Mais le surlendemain, dans la nuit du 18 au 19 juillet, une nouvelle rave a lieu à Yvignac-la-Tour, avec 400 personnes. « Pour cette fête, il a fait passer un ami à lui pour l'organisateur, un garçon de 21 ans habitant Saint-Michel-de-Plélan, que nous avons interpellé le 25 juillet. Cette fête a vu des terres agricoles dégradées, des éoliennes taguées et douze nouvelles plaintes pour agressions sonores », détaille le colonel Leclercq.

Le matériel saisi en attendant le tribunal en novembre


L'organisateur et son compère sont convoqués le 3 novembre devant le tribunal correctionnel de Saint-Malo pour les nuisances sonores et les dégradations. Leur matériel (mur de son, platines, etc.) a été saisi et le tribunal statuera sur son sort à l'audience. Par ailleurs, une enquête a été ouverte pour « travail dissimulé », les gendarmes ayant remarqué qu'un droit d'entrée de 2 € était demandé aux teufeurs. Mais cette enquête est encore « au stade embryonnaire », indique le parquet de Saint-Malo. Chiffres équivalents dans les départements voisins Dans le Finistère, depuis le 1e r janvier, on dénombre déjà 22 rassemblements représentant 10.500 participants, dont un d'environ 5.000 personnes, à Botmeur, les 20 et 21 juin derniers. Le Morbihan ne constate pas d'augmentation notable du phénomène. La gendarmerie comptabilise également une vingtaine de rave-parties depuis le début de l'année, notamment en avril, mai et juin. Il s'agit, le plus souvent, de petits rassemblements de 100 à 300 personnes, organisés sur des terrains privés, sous couvert de fêtes d'anniversaires.



Le Télégramme



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lapin · Administrateur

05-11-15 12:30:04

11-07-11 · 13 872

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Justice. Le matériel de la rave confisqué - Saisie définitive
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Dans la nuit du 18 au 19 juillet dernier, entre 300 et 400 teufeurs s'étaient réunis à Yvignac-la-Tour sur un terrain privé, propriété d'une société exploitante d'éoliennes.

Les deux organisateurs d’une rave party à Yvignac-la-Tour en juillet dernier étaient poursuivis par le tribunal correctionnel de Saint-Malo pour trouble à la tranquillité d’autrui et dégradations (tag sur une éolienne, un champ de maïs abîmé, des déjections dans un bois voisin…).


Six riverains se sont constitué partie civile, manière d’exprimer leur ras-le-bol :

    « C’était la cinquième rave-party de l’année quasiment au même endroit, sans compter la plus récente, celle du week-end dernier qui a réuni près de 2 000 personnes. »

Compréhensifs sur les désagréments causés, les deux organisateurs (21 et 22 ans, habitant le secteur de Dinan, assurent avoir pourtant pris leurs précautions pour les limiter :

    « On avait repéré ce terrain sur internet parce qu’il est le plus éloigné des habitations dans le secteur de Dinan. Et on a nettoyé le terrain avant d’en partir. »

Reste que le terrain est privé et que la manifestation n’avait pas été déclarée. « Le problème, c’est que vous ne maîtrisez rien de ces soirées-là, ni les gens qui y viennent, ni les incidents qui pourraient survenir, au contraire des manifestations déclarées », a souligné le Procureur de la République.

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S’il a requis la relaxe pour les dégradations, « faute d’éléments intentionnels », il a demandé la saisie du matériel de sonorisation (évalué à 3 000 €), propriété de l’un des prévenus, et 100 jours amendes à 10 € pour l’autre prévenu, déjà averti par la justice dans le même type d’affaire.

Mais, pour l’avocat des prévenus :

    « C’est le procès de ce type de manifestation qui est fait. Or, ce n’est pas pour l’organisation d’une free party que sont poursuivis mes clients, mais pour des dégradations et des troubles à la tranquillité, même s’il conviendrait plutôt de parler de tapage nocturne compte tenu du faible niveau de décibels dont il est question. »

Le tribunal a prononcé la saisie du matériel de l’un, condamné l’autre à 2 000 € d’amende dont 1 500 avec sursis. Ils devront solidairement verser 350 € aux parties civiles.



Source : Le petit Bleu, jeannealnc , Sandrine